Je suis venue à Paris du 24 novembre au 31 décembre pour participer à la campagne d'Israël. J'en ai profité pour venir à toutes les séances de la thérapie de l'amour durant cette période. J'ai participé aussi au mariage qui a été célébré en décembre 2012 et j'ai senti que la mariée était dans le même cas que moi. Comme mon mariage s'est dissout en Guadeloupe, lors d'un voyage depuis les congés bonifiés. En juillet 1993, je suis partie avec ma femme de ménage, Irène Sénégalaise, que j'ai dû emmener avec moi en plus de mon mari Renaud, de Mantes-la-Jolie, vu que j'étais malade, trop fatiguée avec les 5 enfants en bas âge. Nous étions très amoureux l'un de l'autre. Il m'a trouvé enceinte de 2 mois, je venais de quitter le père du bébé qui se disputait avec moi. En plus du bébé, j'avais un garçon de 4 ans. Effectivement, après un accident survenu en janvier 1986, j'ai rencontré cet homme qui m'a proposé de garder l’enfant que je portais et qu'on l'élève ensemble. Puis un jour son père Jackie, a conseillé à son fils de plutôt vivre en couple que de se marier. Celui-ci ne l’a pas écouté. Nous avons eu nos premiers enfants en commun en juillet 1989, c’était des jumelles. Le père nous a trouvé un appartement de 5 pièces en Métropole où j’ai pu accoucher à l’hopital de Mantes-la-Jolie. Le papa de mon mari habitait aussi avec sa marâtre et ses frères et demi-frères et sœurs.J’ai repris le travail quelques mois après l’accouchement et nous avons trouvé une crèche municipale. Puis la situation a commencé à devenir gênante. Les parents de Renaud faisaient le va et vient à la maison. Je ne voyais jamais ma famille. Renaud n’était pratiquement jamais à la maison, toute la semaine il travaillait, il allait chez son père qui habitait pas loin de notre maison. Le week-end, il allait travailler pour le journal Paris-Mantes. Un jour, j’ai embauché une femme de ménage, pour aller accompagner les enfants à l’école et les récupérer le soir jusqu’à ce que j’arrive du travail de Paris. Et c’est ainsi que les disputes et la bagarre ont commencé : mon mari est devenu fou furieux Le jour que je lui ai payé un billet aller-retour pour m’accompagner en vacances en juillet 1993. Il a retiré ses 3 filles et m’a laissé seule sans me laisser de nouvelles de mes 3 filles depuis cette année, ni même me laisser une adresse pour que je les visite et que je les aide. Depuis que j’ai participé à la campagne d’Israël et que je suis venue à la thérapie de l’amour, j’ai réussi à lui écrire deux pages d’écriture. Ma plus grande filles qu’il a élevée m’a dit que j’ai eu bien fait de lui écrire puisqu’il ne voulait pas me parler au téléphone. Il a dit que ma lettre lui avait fait du bien. Encore hier soir, elle me dit maman, sa copine est malade à l’hôpital mais elle ne sait trop de quoi elle s’est fait opérer. Alors, j’ai répondu que j’allais prier. Je n’en ai pas dit plus… Mais je sais que le Seigneur me fera justice. J’ai sacrifié à la campagne d’Israël en décembre 2012 et pour ma famille du 3 au 10 février 2013. Dieu va faire justice….. Merci Pasteur pour tout. Mme Lucie
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Je suis venue à Paris du 24 novembre au 31 décembre pour participer à la campagne d'Israël. J'en ai profité pour venir à toutes les séances de la thérapie de l'amour durant cette période. J'ai participé aussi au mariage qui a été célébré en décembre 2012 et j'ai senti que la mariée était dans le même cas que moi. Comme mon mariage s'est dissout en Guadeloupe, lors d'un voyage depuis les congés bonifiés. En juillet 1993, je suis partie avec ma femme de ménage, Irène Sénégalaise, que j'ai dû emmener avec moi en plus de mon mari Renaud, de Mantes-la-Jolie, vu que j'étais malade, trop fatiguée avec les 5 enfants en bas âge. Nous étions très amoureux l'un de l'autre. Il m'a trouvé enceinte de 2 mois, je venais de quitter le père du bébé qui se disputait avec moi. En plus du bébé, j'avais un garçon de 4 ans. Effectivement, après un accident survenu en janvier 1986, j'ai rencontré cet homme qui m'a proposé de garder l’enfant que je portais et qu'on l'élève ensemble. Puis un jour son père Jackie, a conseillé à son fils de plutôt vivre en couple que de se marier. Celui-ci ne l’a pas écouté. Nous avons eu nos premiers enfants en commun en juillet 1989, c’était des jumelles. Le père nous a trouvé un appartement de 5 pièces en Métropole où j’ai pu accoucher à l’hopital de Mantes-la-Jolie. Le papa de mon mari habitait aussi avec sa marâtre et ses frères et demi-frères et sœurs.J’ai repris le travail quelques mois après l’accouchement et nous avons trouvé une crèche municipale. Puis la situation a commencé à devenir gênante. Les parents de Renaud faisaient le va et vient à la maison. Je ne voyais jamais ma famille. Renaud n’était pratiquement jamais à la maison, toute la semaine il travaillait, il allait chez son père qui habitait pas loin de notre maison. Le week-end, il allait travailler pour le journal Paris-Mantes. Un jour, j’ai embauché une femme de ménage, pour aller accompagner les enfants à l’école et les récupérer le soir jusqu’à ce que j’arrive du travail de Paris. Et c’est ainsi que les disputes et la bagarre ont commencé : mon mari est devenu fou furieux Le jour que je lui ai payé un billet aller-retour pour m’accompagner en vacances en juillet 1993. Il a retiré ses 3 filles et m’a laissé seule sans me laisser de nouvelles de mes 3 filles depuis cette année, ni même me laisser une adresse pour que je les visite et que je les aide. Depuis que j’ai participé à la campagne d’Israël et que je suis venue à la thérapie de l’amour, j’ai réussi à lui écrire deux pages d’écriture. Ma plus grande filles qu’il a élevée m’a dit que j’ai eu bien fait de lui écrire puisqu’il ne voulait pas me parler au téléphone. Il a dit que ma lettre lui avait fait du bien. Encore hier soir, elle me dit maman, sa copine est malade à l’hôpital mais elle ne sait trop de quoi elle s’est fait opérer. Alors, j’ai répondu que j’allais prier. Je n’en ai pas dit plus… Mais je sais que le Seigneur me fera justice. J’ai sacrifié à la campagne d’Israël en décembre 2012 et pour ma famille du 3 au 10 février 2013. Dieu va faire justice….. Merci Pasteur pour tout. Mme Lucie
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